Je croyais le débat lancé par mon point de vue publié par Les Echos terminé. Voilà qu'un gars de over-blog le relance en débarquant 15 jours après tout le monde. Quand on lit son texte (dont je ne donnerai certainement pas l'adresse) on est absolument consterné.
Je voudrais simplement vous soumettre les réflexions qu'il m'inspire:
- on ne peut débattre de rien si on accuse l'autre de mauvaise foi, de prétention,etc., si on accuse les autres (en l'occurence les journalistes) de manque de professionnalisme; si c'est ça être un blogueur, alors là, oui, je ne suis pas un blogueur.
- on ne peut débattre de rien si on reproche à l'autre de donner des leçons, pour immédiatement en donner aussi.
- on ne peut débattre de rien si les mots, les phrases de l'autre sont mal interprétées, on ne peut même pas communiquer.
- on ne peut débattre de rien si on fait preuve de l'arrogance que l'on reproche à l'autre.
Moi, j'aimerai que les gens qui sont censés être des promoteurs des blogs fassent preuve de plus de respect vis-à-vis de l'autre que ce monsieur, d'un peu plus d'humilité, bref qu'il y ait quand même quelques valeurs morales et de communication que tous les blogueurs du monde puissent partager entre eux pour donner à ce phénomène du blog la place qu'il mérite.
Votre réponse est bien facile!
Je "débarque 15 jours après tout le monde" car j'étais à l'étranger sans accès à Internet, et la lecture de votre note m'a fait bondir.
J'ai répondu avec un ton qui correspond assez bien, je trouve, à celui utiliser dans votre article. On récolte ce que l'on sème...
Votre dernière phrase semble indiquer que vous avez changé d'avis depuis l'écriture de votre article dans Les Echos? Bref, votre réaction à la mienne me fait penser que la discussion s'arrète effectivement là de mon coté.
Bonne chance tout de même pour cette nouvelle année, je pense que vous en aurez besoin!
Rédigé par : fred | 08/01/2005 à 19:05